[Contribution de Spermy]
lorsque j’ai avisé le message ce matin je me suis dit tiens elle veut remettre le couvert la cochonne - je pensais que c’était une ancienne petite amie qui m’écrivait, il faut dire qu’un prénom pareil ce n’est pas bien courant. il ne s’agissait en réalité que de me proposer fort aimablement d’écrire ici-même sur le thème blogs et filles, proposition à laquelle je me hâtai de donner suite en raison de mon intérêt pour ces deux sujets, l’idée d’être agréable à emeline pour le cas où il arriverait quelque chose à son marmouset de mari n’étant pas non plus étrangère à cet empressement - bien entendu. blogs et filles sont étroitement liés et ceci à plus d’un titre mais je ne m’étendrai pas sur les blogs tenus par des filles, lesquels ne présentent que très peu d’intérêt à moins de ne pas se foutre comme de colin-tampon des crèmes de nuit, histoires de cul à l’eau de rose, musiques à la mode, sacs à la con, escarpins pourris et autres billets sponsorisés destinés à s’offrir le gloss auquel leur seul maigre salaire ne saurait leur permettre d’accéder. vous me rétorquerez probablement que certains blogs tenus par des filles valent le détour, qu’on peut y lire des choses réellement intéressantes, ce à quoi je vous répondrai oui oui bien sûr mais on ne va pas se faire chier pour deux ou trois blogs. ceci posé, il m’apparait bien plus intéressant, en revanche, de se pencher sur un phénomène bien particulier qui est la facilité déconcertante avec laquelle vous pouvez baiser des filles lorsque vous tenez un blog. y compris si vous avez une sale gueule ou si vous êtes pauvre - et c’est bien là toute la différence avec la vraie vie. concernant donc les blogs et filles je dirais que pour un débutant il peut peut s’avérer payant de se positionner sur le créneau relations publiques, marketing, et consulting tu comprends cocotte je suis un peu tout ça à la fois c’est ça le web. la pertinence de vos propos n’est en aucun cas un facteur déterminant et c’est heureux puisque vous vous devez, en vue d’une meilleure efficacité, de consacrer le moins de temps possible à la rédaction de vos billets afin d’être en mesure de montrer votre gueule partout. reprenez quelques buzz, recopiez quelques dépêches, insultez quelques blogueurs en vue en les traitant, au hasard, de grosse tante gauchisante ou de sale facho et vous obtiendrez alors mécaniquement de nombreux commentaires, sans compter les visiteurs acquis à votre cause que que vos faux-amis rencontrés entre deux coupes de champagne vous enverront. la pouffiasse lambda va inévitablement vous prendre pour un type important, un type qui compte, un mec commenté, un gars polémique, un mec qui a des choses à dire, des couilles quoi. et si en plus vous recevez des places de cinéma gratuites alors là c’est bingo putain vous pouvez baiser un tas de gonzesses depuis la connasse qui cherche un stage marketing à la fonctionnaire de merde qui se fait tellement chier au boulot qu’elle lit des blogs à longueur de journée dont le vôtre, souvenez-vous que vous êtes en vue. si cela vous fait vraiment trop chier de vous appuyer tous ces blaireaux dans les soirées juste pour baiser des connasses que vous ne devrez pas contredire lorsqu’elles sembleront se croire intelligentes, vous pouvez opter, comme je l’ai fait, pour le positionnement rebelle impoli. proclamez alors haut et fort votre mépris pour les blogueurs appartenant à la première catégorie, jouez les indépendants d’esprits, dites des gros mots. il est indispensable de posséder un minimum de style et d’être amusant, ou vous passerez simplement pour un grossier personnage. j’ai donc moi-même opté pour cette approche, et ceci pour deux raisons principale. la première est que vous ratissez plus large puisqu’il vous est toujours loisible de choper les connasses que vous impressionnerez avec vos grands airs, et qui ne s’intéressaient jusque là qu’aux blogueurs sans-couilles de la première catégorie. la seconde est que vous vous adressez naturellement à un public féminin souvent plus évolué socialement et culturellement, plus indépendant économiquement, et peu attaché aux simagrées et autres préliminaires, ce qui vous permet - accessoirement - de dépenser moins d’argent pour arriver à vos fins. n’oubliez pas, en effet, que positionné stratégiquement tel que vous l’êtes vous n’avez pas la possibilité de rédiger des billets sponsorisés ou d’accepter les invitations des agences de communications et autres bouffons qui vous tutoieraient alors même que non seulement vous n’auriez aucunement gardé les pourceaux de concert mais qu’encore, leur niveau d’étude étant si bas, vous ne manqueriez pas de vous demander pourquoi diable il se penseraient autorisés à vous adresser la parole. n’hésitez pas, au passage, si vous paraissez dans une de ces soirées qu’affectionnent les blogueurs de la première catégorie, à menacer physiquement, ivre, certain d’entres eux. ne les craignez pas, ils sont veules, et cela renforcera votre légende. ces moyens financiers que vous aurez sauvegardés, il convient de les mettre à profit pour se vêtir élégamment afin de créer un décalage important entre la teneur de vos écrits et l’incroyable classe qui devra être vôtre dans la vraie vie. vous l’aurez compris, opter pour ce type de blog est beaucoup plus difficile car cela exige notamment style, humour et discrétion, ce qui, vous en conviendrez, n’est pas le point fort de vos concurrents de la première catégorie, ce qui explique du reste qu’ils se cantonnent à leurs pitreries numériques et à leurs tests de gadgets technologiques. je vous conseillerais donc de vous en tenir à la première catégorie de blogs évoquée, plus en rapport avec vos capacités. de plus, venir jouer - imparfaitement - dans ma catégorie ne manquerait pas de vous faire apparaître comme mon faire-valoir, vous seriez robin et je serais batman vous n’en sortiriez pas grandi croyez-moi. mais surtout n’oubliez jamais, jamais, qu’en aucun cas vous ne tenez un blog pour le plaisir, vous tenez un blog pour baiser des pouffiasses. blogs et filles mon vieux. blogs et filles.
Photo : Spermito
lorsque j’ai avisé le message ce matin je me suis dit tiens elle veut remettre le couvert la cochonne - je pensais que c’était une ancienne petite amie qui m’écrivait, il faut dire qu’un prénom pareil ce n’est pas bien courant. il ne s’agissait en réalité que de me proposer fort aimablement d’écrire ici-même sur le thème blogs et filles, proposition à laquelle je me hâtai de donner suite en raison de mon intérêt pour ces deux sujets, l’idée d’être agréable à emeline pour le cas où il arriverait quelque chose à son marmouset de mari n’étant pas non plus étrangère à cet empressement - bien entendu. blogs et filles sont étroitement liés et ceci à plus d’un titre mais je ne m’étendrai pas sur les blogs tenus par des filles, lesquels ne présentent que très peu d’intérêt à moins de ne pas se foutre comme de colin-tampon des crèmes de nuit, histoires de cul à l’eau de rose, musiques à la mode, sacs à la con, escarpins pourris et autres billets sponsorisés destinés à s’offrir le gloss auquel leur seul maigre salaire ne saurait leur permettre d’accéder. vous me rétorquerez probablement que certains blogs tenus par des filles valent le détour, qu’on peut y lire des choses réellement intéressantes, ce à quoi je vous répondrai oui oui bien sûr mais on ne va pas se faire chier pour deux ou trois blogs. ceci posé, il m’apparait bien plus intéressant, en revanche, de se pencher sur un phénomène bien particulier qui est la facilité déconcertante avec laquelle vous pouvez baiser des filles lorsque vous tenez un blog. y compris si vous avez une sale gueule ou si vous êtes pauvre - et c’est bien là toute la différence avec la vraie vie. concernant donc les blogs et filles je dirais que pour un débutant il peut peut s’avérer payant de se positionner sur le créneau relations publiques, marketing, et consulting tu comprends cocotte je suis un peu tout ça à la fois c’est ça le web. la pertinence de vos propos n’est en aucun cas un facteur déterminant et c’est heureux puisque vous vous devez, en vue d’une meilleure efficacité, de consacrer le moins de temps possible à la rédaction de vos billets afin d’être en mesure de montrer votre gueule partout. reprenez quelques buzz, recopiez quelques dépêches, insultez quelques blogueurs en vue en les traitant, au hasard, de grosse tante gauchisante ou de sale facho et vous obtiendrez alors mécaniquement de nombreux commentaires, sans compter les visiteurs acquis à votre cause que que vos faux-amis rencontrés entre deux coupes de champagne vous enverront. la pouffiasse lambda va inévitablement vous prendre pour un type important, un type qui compte, un mec commenté, un gars polémique, un mec qui a des choses à dire, des couilles quoi. et si en plus vous recevez des places de cinéma gratuites alors là c’est bingo putain vous pouvez baiser un tas de gonzesses depuis la connasse qui cherche un stage marketing à la fonctionnaire de merde qui se fait tellement chier au boulot qu’elle lit des blogs à longueur de journée dont le vôtre, souvenez-vous que vous êtes en vue. si cela vous fait vraiment trop chier de vous appuyer tous ces blaireaux dans les soirées juste pour baiser des connasses que vous ne devrez pas contredire lorsqu’elles sembleront se croire intelligentes, vous pouvez opter, comme je l’ai fait, pour le positionnement rebelle impoli. proclamez alors haut et fort votre mépris pour les blogueurs appartenant à la première catégorie, jouez les indépendants d’esprits, dites des gros mots. il est indispensable de posséder un minimum de style et d’être amusant, ou vous passerez simplement pour un grossier personnage. j’ai donc moi-même opté pour cette approche, et ceci pour deux raisons principale. la première est que vous ratissez plus large puisqu’il vous est toujours loisible de choper les connasses que vous impressionnerez avec vos grands airs, et qui ne s’intéressaient jusque là qu’aux blogueurs sans-couilles de la première catégorie. la seconde est que vous vous adressez naturellement à un public féminin souvent plus évolué socialement et culturellement, plus indépendant économiquement, et peu attaché aux simagrées et autres préliminaires, ce qui vous permet - accessoirement - de dépenser moins d’argent pour arriver à vos fins. n’oubliez pas, en effet, que positionné stratégiquement tel que vous l’êtes vous n’avez pas la possibilité de rédiger des billets sponsorisés ou d’accepter les invitations des agences de communications et autres bouffons qui vous tutoieraient alors même que non seulement vous n’auriez aucunement gardé les pourceaux de concert mais qu’encore, leur niveau d’étude étant si bas, vous ne manqueriez pas de vous demander pourquoi diable il se penseraient autorisés à vous adresser la parole. n’hésitez pas, au passage, si vous paraissez dans une de ces soirées qu’affectionnent les blogueurs de la première catégorie, à menacer physiquement, ivre, certain d’entres eux. ne les craignez pas, ils sont veules, et cela renforcera votre légende. ces moyens financiers que vous aurez sauvegardés, il convient de les mettre à profit pour se vêtir élégamment afin de créer un décalage important entre la teneur de vos écrits et l’incroyable classe qui devra être vôtre dans la vraie vie. vous l’aurez compris, opter pour ce type de blog est beaucoup plus difficile car cela exige notamment style, humour et discrétion, ce qui, vous en conviendrez, n’est pas le point fort de vos concurrents de la première catégorie, ce qui explique du reste qu’ils se cantonnent à leurs pitreries numériques et à leurs tests de gadgets technologiques. je vous conseillerais donc de vous en tenir à la première catégorie de blogs évoquée, plus en rapport avec vos capacités. de plus, venir jouer - imparfaitement - dans ma catégorie ne manquerait pas de vous faire apparaître comme mon faire-valoir, vous seriez robin et je serais batman vous n’en sortiriez pas grandi croyez-moi. mais surtout n’oubliez jamais, jamais, qu’en aucun cas vous ne tenez un blog pour le plaisir, vous tenez un blog pour baiser des pouffiasses. blogs et filles mon vieux. blogs et filles.
Photo : Spermito
98 commentaires:
Je ris, comme d'hab. (Comment se renouveler en commentaire si Zoridae n'invite que des gens drôles et pertinents ? A quand un diner de cons bloguesque ? Pardon.)
Oui mais c'est pas juste, la symétrie ne se vérifie pas. Blogs et garçons, ma vieille, blogs et garçons... Ah non tiens. Bon, en même temps ta méthode mérite d'être testée. Gros mots et insulte de blogueurs influents.
Nicolas ? Nicolaaas ! J'ai deux mots à te dire !
Merci pour ces judicieux conseils. Je n'aurais jamais pensé qu'un blog puisse avoir une fonction si intéressante.
L'idée est à creuser.
Très bon !
Pour le reste, je ne me vois pas diner avec des blogueurs que je ne peux pas sentir...
Le ministère des moi - dont Balmeyer est secrétaire - m'interdit de citer des noms. et m'interdit également d'expliciter le pourquoi de cet assourdissant silence...
Par delà les mots et l'humour noir. Ecrire pour sauter...
Le prédateur dans la jungle urbaine. Ecrire pour croiser des gens, s'y frotter un tout petit temps. Je blogue donc je suis. J'EXISTE... En attendant c'est grâce à une fille que je vous lis Spermy... Et aussi hot soyez-vous, il me faudra plus pour me laisser attraper.
J’aaadoooorrreeee cette page presque blanche !
Je m’étais dit, « Non, quand même, je ne vais pas être le premier commentateur de Spermy ! Ça la foutrait mal ! Surtout pour lui ! »
Alors j’ai attendu. J’ai vu, je vois.
Ouf, merci Marie-Georges !
Hou, hou ? Où qu’ils sont les habituels adorateurs de notre hôtesse ?
Encore un effet Obama, c’est sûr.
(Correctif ! Le temps que j’écrive ces quelques insanités, les choses semblent s’être décoincées !)
J’ai déjà dit que je n’aimais pas faire de compliment.
Je n’ai donc aucun complexe à ne pas en faire.
Je voudrais juste te poser une question, Spermy.
Tout reste dans le virtuel, ou non ?
Parce que des fois, ça mouille sec (sic) dans les commentaires chez toi…
… …
« cela exige notamment du style, de l’humour et de la discrétion »
Tout ce que j’aime, quoi.
Ah, je voulais dire aussi : « … et autres bouffons qui vous tutoieraient alors même que non seulement vous n’auriez aucunement gardé les pourceaux de concert… »… Je l’avoue, je n’ai jamais gardé de pourceaux. Mais vraiment, le vouvoiement qui cache trop souvent le mépris prétentieux sous de bonnes manières… Pas mon truc.
… …
Ah, si, un dernier point.
Pas croyable le nombre de commentatrices sur mon blog de pédé ! Si par hasard tu avais la visite de quelques gracieux éphèbes, ne pourrions-nous pas envisager quelque chose comme les échanges de cartes Pokémon dans les cours de récré ?
Sophie,
arrête de faire ta mijaurée... Ecrire pour la baise, au-delà du blog, quel écrivain ne le fait pas ?
C'est réservé à Jean D'ormesson ?
Boby,
Mortie et moi, on compte pour du beurre, c'est ça ?
"vous seriez robin et je serais batman" faudrait savoir ?! c'est un billet conseil pour lever de la greluche ou bien pour servir de jouet sexuel à votre attention ?
Dorham susceptible ?
Je précise donc que j'avais écrit le comm vers 12h30 (1h30 après sa parution et ma lecture).
Les circonstances ont fait que j'ai tardé à le publier...
Pardon Morticius,Dorham et Sophie !
et Gaël rien ? ça vaut bien la peine que je m'emmerde à lire des billets tiens !
Boby je rigole !
J'ai vu, je plaisantais, j'avais vu le correctif, je fais mon con aujourd'hui. (sans jeu de mots qui pourrait exciter notre Spermy national)
Une mobylette a du mal à démarrer ligne 26, elle fait "peut peut".
Pouffiasse (2), connasse (3) avec une nette préférence pour le pluriel. Ce n'est pas une bonne approche. Aussi immature que de ne pas mettre de majuscule. Je suppose que c'est un choix esthétique. Ethique. Philosophique. Un acte de foi. Commence par enlever la majuscule à Spermy. On va penser que tu doutes de toi.
"que vous ne devez pas contredire lorsqu'elles sembleront se croire intelligentes" : commencer par ne par ne pas les contredire lorsqu'elles le sont.
Ce qui m'agace le plus, c'est sa jeunesse. Ca lui passera.
« J’ai déjà dit que je n’aimais pas faire de compliment » (Boby)
Pareil.
Ca doit être de bon ton d'apprécier ce texte : Quel humour ! Quel 36ème degré ! Quel sens de la controverse. Les femmes sont des pouffes ou des connasses, quelle impertinence!
Je trouve que c'est un peu trop facile. Je ne vais pas faire ma vierge effarouchée en disant que moi, monsieur, je serai le dernier rempart de la chasteté sur internet et que d'autre part, je n'ai jamais parlé d'escarpins sur mon blog (mais j'y pense, suis-je vraiment une fille si je ne parle pas du dernier Wonderbra qui fait les nénés comme ça ? D'un coup c'est ma vie qui bascule et c'est toute ma sexualité qui est remise en question. Je ne parle pas de fringues, donc je suis un homme!).
Merci Spermy !
Après cette révélation, j'espère maintenant que grâce à mon blog, je pourrais me lever plein de poulettes.
En fait, ce n'est pas tant le texte que je trouve consternant (il est du niveau du blog correspondant, il n'y a pas tromperie sur la marchandise) que les soupirs extasiés de ces dames, dont les petites lèvres semblent faire "bravo" à chaque fois que les mots "connasse", "pouffiasse", "cochonne", etc. s'écoulent de la lippe de l'auteur.
Dieu sait que je ne suis pas particulièrement féministe (ni prude, ni délicat, etc.), mais imaginez un instant que j'éructe le même genre de prose, en remplaçant les vocables susnommés par "pédale", "fiote", "tantouze", and so on : vous seriez les premières à pousser des hauts cris indignés, révoltées par mon "homophobie" supposée. Alors, pourquoi tolérez-vous ici, pour vous-mêmes, ce que vous repousseriez là, pour d'autres que vous ?
Oui, oui, je vous entends : il y a l'humour, le second degré, le style, le talent...
Le problème est que, d'humour, de style et de talent, je n'en vois nulle part en ce texte. Ce que je vois bien, en revanche, c'est la tentative de pallier une risible absence d'inspiration par une accumulation de mots cache-misère (con, conne, merdique, pourri : j'en passe, je ne vais tout de même pas le lire une troisième fois).
Quelque part vers le milieu de cette maigre logorrhée sans le moindre paragraphe, l'auteur prétend avoir opté pour "un minimum de style".
Dans cette locution, seul le mot "minimum" compte.
Cochon : je crois que nous écrivions sensiblement la même chose au même moment...
Je ne connaissais pas le blog de spermy. Cela mérite le détour. L'araignée n'a pas fait son travail sérieusement : il ne met pas la majuscule...
Ce qui est gênant, c'est qu'on aimerait que l'entreprise aille plus loin. Sinon, c'est sans doute ce que l'on appelle un spermycide.
Vous ne me comprenez pas ? Alors je vais coller ici une chose qui me fit rire :
"lorsque j’ai avisé le message ce matin je me suis dit tiens elle veut remettre le couvert la cochonne (...)
il ne s’agissait en réalité que de me proposer fort aimablement d’écrire ici-même sur le thème blogs et filles".
Que penser d'autre que :
Ahahahahahahah le naze !
Je ne pense pas qu'on puisse, à cette lecture, douter un instant du second degré. Impossible d'en ressortir en se disant "oui, bien vrai, toutes des pouffiasses !" mais plutôt "ce personnage autosatisfait, macho et pédant est génialement bien vu".
Pourquoi Didier Goux ne pourrait nous faire rire avec "tarlouze" ? (d'abord y tenez-vous réellement ?) :
- parce qu'en général il est intelligent, il est poète, il est fin etc. ;
- parce qu'il existe dans la vraie vie.
Donc oui, on prendrait la chose différemment mais ça me paraît normal...
Didier,
Vous avez réellement lu texte deux fois ? Il faut du courage.
Il existe Didier Goux ?
Marie-Georges, on avait noté qu'il s'agissait de second degré, mais on n'a pas trouvé ça drôle (pour résumer)...
Pour moi, c'est la surenchère qui plombe le texte vers la fin. Ca mériterait plus de concision. La vulgarité ne m'a jamais fait rire, mais c'est purement subjectif. Le même texte sans les "connasses" et "pouffiasses" serait plus percutant. On se rend bien compte que le personnage est pédant et vantard, mais l'effet humoristique serait renforcé avec l'emploi de termes plus piquants, moins grossiers, mais tout aussi machistes.
Le début m'a aussi fait sourire, c'est dommage que la suite ne soit pas du même acabit.
Disons que l'auteur n'a pas les moyens de son second degré. Après tout, le second degré, c'est comme le premier : il y a les virtuose et il y a les tâcherons.
M'enfin, si ça plaît aux filles, rien à dire.
Cochon, je comprends et suis d'accord avec toi (si, si !). D'ailleurs ce ne sont pas les mots vulgaires qui me font rire, mais les situations où Spermy se prend d'avance pour un dieu (et où ça rate forcément). Mais pour moi les mots vulgaires font partie du lexique du personnage. Voilà.
Didier Goux,
"si ça plaît aux filles" ça se pose là aussi, si je voulais vous chercher noise ! Ça sert à quoi que Cochon se décarcasse pour dire qu'elle n'apprécie pas !
Passer du fantasme à la réalité...
Souvent une erreur... Bonjour les déceptions (j'ai testé merci)
Je connaissais un type qui ne fréquentait que des blogs de filles dans l'espoir sans doute, de s'en tirer une ou deux, voire plus.
Il n'a jamais réussi...
Aurez vous plus de chance et de savoir faire que lui???
je confirme, j'adore ce "phrasé", j'adore ces propos
Spermy, c'est comme les rognons, la cervelle, les tripes et le camembert trop fait.
Au moins, on prouve une chose : ça n'est pas la qualité du texte qui fait le nombre de commentaires.
Je suis étonnée que tout le monde s'attarde sur les grossièretés et sur le machisme surexposé de spermy sans aborder une seule fois son portrait au vitriol de "la société du blogage"...
C'est pourtant un aspect du billet qui m'a plu.
Il m'a plu aussi d'y voir un portrait de spermy tel que je le lis depuis quelques temps : deuxième ou troisième degré - je trouve qu'il en a les moyens (et Didier Goux, ne me faites pas croire que vous n'avez jamais employé un des mots que vous citez)- méchanceté, machisme, obsession sexuelle, tout cela avec un style que je trouve original, percutant, un réel sens du phrasé comme le dit Perséphone.
spermy a pris la tangente d'un sujet bateau, je n'en attendais pas moins et j'ai apprécié sa façon de le faire...
Je suis plutôt d'accord avec toi, Zoridae.
Même si ce type de texte de Spermy me plait nettement moins que certains autres, plus "distanciés" par rapport au sexe, comme d'ailleurs je trouve dommage qu'il ait mis sa bannière actuelle.
J'aime mieux quand il est dans son combat contre le monde, ses histoires de bus, de fourmis des choses comme ça.
Je trouve que le "personnage" Spermy est alors plus nuancé, plus attachant dans sa médiocrité, moins "Spermicious".
Spermy sur son blog, dans sa réponse aux commentaires ici, dit non non, ça n'est pas du second degré, et ça, j'aime bien, il y a une mise en abîme qui est amusante.
Dans l'ensemble, Spermy, je le trouve parfois limite dans le vulgaire, mais juste après, je me dis c'est un avatar, et j'essaie d'imaginer l'auteur des jours de Spermy, et c'est là, que ça commence à être intéressant.
Avec Spermy, faut toujours se rappeler qu'il s'agit de pixels, avant d'apprécier.
(C'est pour ça, DG, qu'on ne peut pas du tout faire cette opération de transposition que vous suggérez pour juger ce texte, c'est absurde, ça n'a pas de sens, parce que vous, vous êtes DG et lui, il a créé Spermy. Rien à voir)
J'ajouterais en toute fin des commentaires de tous que les quelques réactions suscitées ici et là sont précisément le but avoué de Spermy. Il exprime lui-même l'adoption d'une posture je m'enfoutiste tout en la décryptant : et c'est précisément ce qu'on vient lui reprocher.
Si Spermy n'avait aucun style, si son second degré n'avait pas de moyens, qui prendrait un peu de son temps pour venir le dire ?
D'autant plus que ce mot "style" est aussi à mon avis une provocation : je ne crois pas qu'il s'agisse du fameux style Célinien, mais du style, du "good looking". Spermy ne dit pas j'ai du style, il dit, "je suis stylé".
Stylé comme peut l'être une pute de luxe, une fille aux seins refaits qui vous fait quand même bander :)))
Bien entendu, il m'arrive de percevoir quelques hésitations dans sa démarche ; elle pourrait être plus aboutie, plus profonde (et là, je suis un peu de l'avis de Mtislav) dans le sens où lui-même pourrait joindre plus de sens et de la profondeur à sa démarche. Ce qui reviendrait à s'assumer.
Bref, un bien long débat pour une personne qui aux dires de certains ne présente aucun intérêt. Non ?
Dorham,
Sans vouloir te contredire, il me semble que tu viens d'exprimer une belle bêtise.
"Si Spermy n'avait aucun style, si son second degré n'avait pas de moyens, qui prendrait un peu de son temps pour venir le dire ?"
Pas moi ! J'ai d'ailleurs perdu assez peu de temps dans les commentaires ici pour le dire.
En outre, ce n'est pas spécialement à Spermy que je m'adresse mais à la taulière et la collectivité, car j'aime bien la collectivité en question et surtout la taulière (mais ne le dites pas à son époux)...
Mais, pour moi, les blogs sont un lieu de loisir pas de descente des copains !
Je vais donc positiver : "l'agréable série de billets variés que nous sort avec son charme habituel la taulière est tâché par un texte sans intérêt pondu avec un ton condescendant, vulgaire, ne respectant pas les règles de base de la ponctuation (ça m'énerve) et de présentation des billets de blogs... C'est dommage que la taulière se soit sentie obligée de le publier après l'avoir demandé à un gugusse.".
En principe quand un texte d'un blog me déplait, je zappe. Là, c'est sur un blog que j'aime bien (je me répète ?), je me suis donc senti obligé de le lire entièrement. J'ai perdu du temps.
Ca ira ?
Mais t'énerve pas...Pourquoi tu prends pour toi mon intervention comme ça ?
Tu n'étais pas réellement visé puisqu'en effet tu n'as pas développé.
Cette phrase que tu cites de mon intervention rebondit plus particulièrement sur le propos de Didier.
Deuxièmement, Zo l'a publié en toute conscience, ce texte, parce qu'elle l'aime bien, comme elle l'a dit plus haut... Elle ne s'est pas sentie obligée...
(il me semble)
Dorham,
Je ne m'énerve pas. Tous les premiers commentaires étaient des sortes de félicitations pour ce texte, félicitations que je n'avais pas envie de donner... Le commentaire de Didier est arrivé à point pour exprimer vaguement ma pensée, car Didier ose la critique, moi pas.
Ainsi, ton commentaire m'a énervé (ah ! si ! je m'énerve ?). Ton "s'il n'avait pas de style personne de s'attarderait à le critiquer" est presque affligeant. Ca équivaut à exprimer qu'on ne peut plus critiquer un billet ou un texte !
Evidemment que tout type qui écrit à un style... Ca serait triste, sinon...
Non, tu fais erreur. Je ne dis pas que toute critique est impossible. Tout au contraire, qu'elle ne peut jamais s'exercer que sur quelque chose qui a un minimum d'intérêt.
Cette phrase ne veut aucunement dire que si on critique, ça veut dire que ce qu'on critique est nécessairement bon, ça veut juste dire qu'il y a matière à critiquer, et "la matière à", c'est déjà quelque chose en soi.
Tu pourras d'ailleurs lire dans mon commentaire qu'il y a aussi une critique du texte. Pas la même que la votre. Mais une critique aussi. Je suis loin d'être dithyrambique quand j'écris ça :
"il m'arrive de percevoir quelques hésitations dans sa démarche ; elle pourrait être plus aboutie, plus profonde (et là, je suis un peu de l'avis de Mtislav) dans le sens où lui-même pourrait joindre plus de sens et de la profondeur à sa démarche. Ce qui reviendrait à s'assumer."
Critiquer le rien (comme peut le faire à l'occasion Didier), c'est faire aussi du rien. C'est PRECISEMENT la critique du rien qui à mon sens est affligeante. C'est du temps de perdu.
D'ailleurs, c'est nul, je ne suis pas un supporter, je ne suis pas le champion officiel de la défense spermique :)))
(alors, bon, je passe à autre chose...)
J'admire Dorham, quand il y a une blog-war, il y va !
Je vais vous faire une confidence...
Quand je relis ces commentaires, que je vois une machine à écrire qui menace de s'écraser sur ma tête...
Et que je sais que certains gardent un oeil sur le nombre final de commentaires...
Je vais faire un petit effort, mais n'allez pas penser que mon geste est gratuit.
Commenter, oui. Lyncher, non.
La marge est parfois étroite.
On peut être agacé.
On peut attendre et laisser son jugement évoluer.
Jusqu'à ce qu'il atteigne une forme plus juste.
Parvenir à lui donner une forme acceptable.
Tenter de ne pas être bas de plafond. Elle était un peu facile celle-là.
J'aime beaucoup l'idée de spermy, la pulsion sera la plus forte.
J'aime beaucoup détester, je dévore des auteurs que je méprise, au sens premier : je ne les comprends pas.
Mais je les lis.
L'annuaire.
Wikipedia.
Schopenhauer.
En fait, pas Schopenhauer. Mais je ne le traiterai pas de "pouffiasse" parce que ce ne serait plus lui que j'insulterai mais moi-même.
A ce stade, j'ai l'impression d'être un parlementaire socialiste, à moitié groggy, essayant vainement de s'opposer à l'inéluctable vote d'une assemblée bleu horizon. Quel est le sens de ce combat ? L'écriture de spermy. A-t-il du style ? Une formule célèbre pose que "le style, c'est l'homme". A-t-il du fond ?
Parvient-il à gésir entre le sol et le plafond ? On n'ose pas lui demander de nous faire jouir même si je pense que nous avons tous à nous améliorer !
Point n'est besoin d'une réponse rapide, la jouissance impose une certaine dose de souffrance.
spermy, laissons-lui du temps pour atteindre la conscience.
Il fut un temps où j'adorais lire des auteurs de la veine de spermy. Certains sont tout à fait oubliés, d'autres ont atteint le pinacle de la littérature.
Henry Miller.
Charles Bukowski.
Philip Roth.
Toto.
Mtislav (ispice di mitraillette à commentaires) avec ces références c'est Spermy qui devrait jouir !
plus sérieusement, ce n'est pas une chambre bleu horizon qui se dresse, plutôt un fifty-fifty mais qui est déjà assez inhabituel dans des commentaires de blogs, endroit où d'habitude seuls les bravos se laissent entendre.
je le redis moi j'ai bien aimé, est-ce parce qu'il est publié chez Zo, peut-être, j'en sais rien
Vous allez vous féliciter de ne pas avoir coché mes amis.
Roland Jacquart, pas le généticien. Il a écrit quelques romans, le narrateur est psychanalyste. Impossible de retrouver une trace de ce type. Des histoires de Lolitas à la Nabokov, plus du tout dans l'air de notre époque. Je lisais avec plaisir, tout bonnement des histoires de drague mais avec une pincée de nihilisme à la Cioran, une pincée de soufre... Incroyable, soit tous ses ouvrages ont été brûlés sur le bûcher, soit l'oubli a fait son oeuvre au point que personne n'ose même vendre un vieil exemplaire sur amas/zone.
Tss tss,
le Roth de Portnoy ?
En fait, j'ai deux frangins. Roth et Portnoy justement...
(parce que le Roth de Pastorale Américaine, on est des cancrelats à coté d'une oeuvre pareille ; et chacun sait peut-être comme je hais cette engeance là)
Moi, j'aime Roth plus que tout. Beaucoup Bukowski. Moins Miller. Miller, c'est la partie intello du gland qui me gonfle ;
Mtislav,
m'en fous, je coche jamais !
Je suis old school, moi !
Un petit effort. Plus que 25 commentaires et D.G. comprendra que l'actualité est un tyran, qu'il avait raison, l'esprit courtisan aura vaincu.
J'ose une citation avant de reprendre ma liste :
"Car les silhouettes sans visage qui parsèment les gradins du cirque sont ses commentateurs toujours prêts à se plier docilement à la louange ou à l’invective selon la demande qui leur est faite par le dompteur ; mais ils sont aussi des blogueurs concurrents."
Osez commenter après cela !
Au point où j'en suis, je pourrais glisser un petit commentaire qui n'a rien à voir mais qui sera pleinement utile à MG : comment insérer un lien dans un commentaire. Vous savez tous comment procéder, une recherche rapide sur internet délivre très facilement la réponse.
Bon si Dorham, me donne un coup de main, je peux aller boire le café.
"La partie intello du gland" de Miller ne me gêne pas. Faut penser que c'est un précurseur. On peut pas reprocher aux dessinateurs des grottes de Lascaux de ne pas avoir une interface aménagée par Nef.
Y a que Mtislav qu'a tout compris (comme d'habitude) : il s'efforce de faire en sorte que Spermy dépasse en commentaires le nombre atteint par mon petit texte pontifiant-pompeux. Il a raison : c'est tout ce que nous méritons, les uns et les les autres.
(Sinon, j'ai failli reprendre tous les commentaires, pour taper sur les un(e)s et les autres, mais finalement non : que M. Spermy continue...
)
Et c'est encore moi qui tombe sur le 69...
Mais "La Crucifixion en rose", rien que le titre, c'est formidable.
Et comme je suis un peu "traditionaliste", je ne peux pas lui reprocher d'être un peu édulcoré à côté de Sade par exemple. Mais il a compris - comme spermy - que le sexe est une grande affaire.
On pourrait citer beaucoup d'auteurs francophones dans cette veine. De François Villon à San-Antonio... Ils ne sont pas dans la veine dragueur aux cent coups.
"Avance un peu le bassin, espèce de pouffiasse, et ta chatte, où elle est passée maintenant? Ah la voilà."
C'est d'Elfriede Jelinek. On n'est bien d'accord, cela ne fait pas avancer le débat.
et Tristan Corbière alors , on l'oublie ?
Plus amusant, l'intertextualité entre J.F. Bizot et spermy :
"Hugues souffre, coincé entre la grande bourgeoisie déclinante et la petite bourgeoisie montante. Il ne comprend rien à rien. Il a seize ans. « Qu'est-ce que tu préfères, lui demandent ses copains, Aqua Velva ou Old Spice, le rustique breton ou le design, le marketing ou la pub, une tête superbe sur un boudin ou une tête de pouffiasse sur une charpente super ? » Heureusement, Karl Marx survient, avec sa grande cape rouge de Batman."
Adoptons une minute le rôle de faire-valoir que spermy nous assigne. Lisons ce petit extrait du Forum doctissimo.
"après avoir été fessée et se trouvant exposée à genoux mains sur la tête ma copine refuse toujours obstinément la domination orale.
Est-il courant qu'une JF après soumission refuse ainsi une fellation complète ?"
N'est-ce pas délicieux ?
Toujours dans cette veine : il ne faut pas écrire la bouche pleine.
"Va te faire foutre, vieille pouffiasse, oiseau de nuit, épouvantail de nuit, cauchemar de nuit, rappel de ma bêtise, monument de ma niaiserie, ordure de mes souvenirs, urine puante de ma jeunesse."
Milan Kundera.
« Tchaca pouffiasse matchacasse déboulasse cacarelle calomêlasse
cagoulasse macalasse labourasse dévalasse galimatiasse collemiasmasse
patatipatrasse crasse caca d’avalasse. »
Frankétienne, un poète haïtien, tiré de Brèche-ardente. L'auteur cherchait à peindre la situation de son pays plus que de faire une touche.
La démonstration de Mtislav est tout sauf une démonstration par l'absurde à mon avis...ça peut paraître de la fanfaronnade, ça n'en est pas.
C'est une mise en abyme.
C'est une remarquable anthologie de la poésie-pouffiasse.
Et dire que Nicolas pensait avoir assez perdu de temps.
spermy aux Antilles sur la plage abandonnée nous conseillerait de commenter dans la position allongée.
C'est le fond du message peut-être. La vie est ailleurs. Pour bloguer, il faut bander, il faut éliminer le trop-plein de mâles comme le chantait Brassens ou DG :
"Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on
Est plus de quatre on est une bande de cons.
Bande à part, sacrebleu ! c'est ma règle et j'y tiens.
Au faisceau des phallus on n'verra pas le mien."
Quand j'ai vu le propos de l'article, je me suis préparée à soupirer très fort mais j'ai été bluffée. Le pire, c'est que malgré le 2e degré (ou plus), ce portrait est tellement ressemblant, quel réalisme.
M. Spermy, vous avez un sens de l'observation et une finesse d'analyse impressionnante.
*IMpressionnants, pardon, faute d'accord.
Spermy , voudriez-vous être mon mari sur facebook ?
Spermy, j'ai remarqué quelques lectrices femelles sur mon blog, je propose un échange standard : auriez vous des lectrices décédées ou sur le point de ? Même en état de mort cérébrale, d'après ce que je lis, ça foisonne.
Pinklady a raison, tout le monde focalise sur le fait que spermy est un connard vulgaire avec un style merdique et un goût imbitable pour l'illisibilité, et on en oublie de dire que sous couvert de parler de blog et fille, il parvient à faire un portrait très juste d'un certain type de blogueurs (pardon, d'individus)
j'ai dit.
Nef, c'est quasiment ce que j'avais dit plus haut... D'abord !
c'est tellement bien les blogs quand c'est bien !
C'est du spermy et j'ai bien aimé.
Eh bien Zoridae et Nef, je ne suis pas d'accord sur le "tout le monde", na !
J'ai dit.
Et d'accord avec Nef sur le portrait très juste. J'ajoute : pas seulement de blogueurs. (Moi ça me fait penser à des hommes connus naguère... Mais brève je serai sur ce point !)
Dernière chose : il dit "pouffiasse" mais il dit aussi "marmouset", "colin-tampon", "pourceau". J'aime ces écarts formels tout au long de son texte. Voilà.
Zo et marie-georges : je sais , je sais, mais c'est tellement noyé dans la critique du style de spermy et la folie de Mtislav qu'il fallait le pointer de manière à ce que les gens le réalisent à nouveau. (maintenant on a un bloc de presque 10 commentaires de gens différents (...) qui ne dénigrent pas, ça peut peser ! )
Purée, Mtislav et Dorham sont trop intellectuels pour moi, mais je sens bien que je suis d'accord avec eux.
Et aussi avec MG et Zo et Nef.
Si ça continue, on va faire le même score que Ségolène, vu les commentaires qui s'agrègent.
(et moi non plus je ne coche pas, je suis archaïque comme surfeuse de Net)
Qui est sur la photo ?
Merde j'ai du rater un truc moi !
Je ne voulais pas laisser de commentaire, mais....
Très violent ce Spermy, choqué par déjection..c'est primaire.
Désolé je trouve ça un peu trop 'hard' Je ne suis pas capable de rentrer "ds son univers",,serais-je borné? Peut-être...
Au Québec, les hommes qui traitent les femmes de conasses perdent tout intérêt..on aime les hommes..pas les bêtes.
On peut rire de tout, mais as avec n'importe qui, hein.
il me fait bien rire ce garçon.
Parapluie,
Oui, moi aussi !
excellent billet spermy
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